Also published as “Jar City”.
When a lone septuagenarian is murdered in his apartment in the Nordurmyri district of Reykjavik, detective inspector Erlendur Sveinsson is called in, along with partner Sigurdur Oli and female colleague Elínborg. Everyone is related to everyone else in Iceland and refer to one another by first name, even formally. Erlendur is about 50, long divorced, with two kids in varying degrees of drug addiction. The victim, a man called Holberg, turns out to have been a nasty piece of work, and Erlendur is disgusted by the series of rapes Holberg apparently committed. The rapes and the deaths of a number of young women may be connected, and the search brings Erlendur to the forensic lab, whose old “jar city,” since disbanded, held research organs. Meanwhile, Erlendur’s daughter, Eva Lind, is pregnant and still using; she flits in and out of his life angrily, but may be crying out for help. Reykjavik’s physicality, and the fact that crimes are relatively rare in Iceland, gives things a defamiliarizing cast.
Won Glass Key award in 2002 (Nordic crime fiction award).
Caution — British spelling.
Tarif de groupe, huitième roman de Pagan, déballe le linge sale de l'usine — la police en jargon interne. Le spectacle d'une poubelle de fast-food serait sans doute plus ragoûtant. Ce flic qui a le blues ne fait pas dans le sous-entendu. Son ex-inspecteur Chess les connaît à fond, ces types qui pratiquent les méthodes du grand banditisme, sous le masque de la vérité et de la justice. Des flics qui se goinfrent : 50 briques sur un plan de came. Le plus sinistre ripou de l'histoire a commandité le meurtre d'une prostituée. Pourquoi ? Pour rien. Parce qu'elle n'a jamais accepté de baiser avec lui. On l'a découverte morte et torturée de la pire façon. Affaire classée. Chess remue la boue. Au final, dans ce camp-là, le crime paie.
Sylvaine Pasquier, L'Express
Pour bien se préparer à la consommation de la tarte aux poils, il est conseillé de manger beaucoup de cœurs d'artichauts non ébarbés. Ensuite, il est bon d'embrasser le sculpteur César, Alain Bombard ou François Nourissier à pleine joue et de façon répétitive, avant de prodiguer ces baisers fougueux à un manteau d'astrakan (dans la région des boutonnières de préférence).
L'entraînement doit être intensif. Songez qu'Arthur Rubinstein s'est fait chier des années avec « La Lettre à Elise » avant d'interpréter ces noctumes de Chopin qui ont assuré sa gloire.
Lorsque vous aurez la certitude de bien maîtriser le sujet, vous pourrez vous risquer alors à pratiquer sur une dame la figure dite de « l'enveloppe cachetée ». Pour le reste, faites confiance à votre instinct et allez de l'avant !
Cela dit, il n'y a pas que des séances de tartes aux poils dans ce saisissant ouvrage.
Vous trouverez en outre : une balle fondue, huit caïmans (mais peut-être sont-ce des alligators ?), une mine désaffectée, un nègre blanc, une balle de golf particulière et plus d'une tonne de cadavres.
Quand vous aurez achevé votre lecture, faites-moi signe : on ira bouffer ensemble.
De la tarte aux poils, de préférence.
La Bulgarie est le pays du yaourt.
J'aurais donc pu intituler ce bouquin « Baise-la dans le yaourt ».
Mais je suis un auteur bien trop embouché pour débloquer au dos d'une couverture.
Heureusement qu'à l'intérieur on peut y aller carrément.
Tout se permettre, et un peu plus encore, moi, c'est justement le « un peu plus » qui m'intéresse.
Et toi aussi, pas vrai, bougre de petit dégoûtant.
Faut toujours se gaffer des pays où il ne se passe rien.
Parce que en général, il s'y passe des trucs-machins pires qu'ailleurs.
Ainsi de l'Uruguay.
Moi je croyais que Montevideo, sa capitale, n'était intéressante que pour les cinq pieds qu'elle apporte à une chanson.
Fume !
Si nous n'avions pas été à la hauteur, Béru et moi, on y aurait laissé nos belles plumes de coq !
Heureusement qu'on a pu s'y faire rigoler la zize à s'en gonfler les amygdales sud !
Quand on a tout paumé, il nous reste au moins le chibre.
Nos petites potesses n'en demandent pas davantage, t'es d'accord ?
« Adamsberg attrapa son téléphone, écarta une pile de dossiers et posa les pieds sur sa table, s’inclinant dans son fauteuil. Il avait à peine fermé l’œil cette nuit, une de ses sœurs ayant contracté une pneumonie, dieu sait comment.
— La femme du 33 bis ? demanda-t-il. Veines ouvertes dans la baignoire ? Pourquoi tu m’emmerdes avec ça à 9 heures du matin, Bourlin ? D’après les rapports internes, il s’agit d’un suicide avéré. Tu as des doutes ?
Adamsberg aimait bien le commissaire Bourlin. Grand mangeur grand fumeur grand buveur, en éruption perpétuelle, vivant à plein régime en rasant les gouffres, dur comme pierre et bouclé comme un jeune agneau, c’était un résistant à respecter, qui serait encore à son poste à cent ans.
— Le juge Vermillon, le nouveau magistrat zélé, est sur moi comme une tique, dit Bourlin. Tu sais ce que ça fait, les tiques »
When Anthony Forrest walked out of the office building, the only thoughts on his mind were of an impending birthday and a meeting with his wife for dinner. And a deadly bullet saw to it that they were the last thoughts on his mind. The problem for Detectives Steve Carella and Meyer Meyer of the 87th Precinct is that Forrest isn’t alone. An anonymous sniper is unofficially holding the city hostage, frustrating the police as one by one the denizens of Isola drop like flies. With fear gripping the citizenry and the pressure on the 87th mounting, finding a killer whose victims are random is the greatest challenge the detectives have ever faced — and the deadliest game the city has ever known. A gritty, relentless pressure cooker of a thriller, Ten Plus One is one of bestselling author Ed McBain’s finest, the ultimate addition to the 87th Precinct series where time threatens to stand still and murder rules the day.
There is no detective like DI Rebus — brilliant, irascible and endlessly frustrating both to his friends and his long-suffering bosses. For over two decades he has walked through the dark places of Edinburgh...
Now Rebus’s life is revealed through this complete collection of stories, from his early days as a young DC in ‘Dead and Buried’ right up to the dramatic, but not quite final, retirement in ‘The Very Last Drop’.
This is the ultimate Ian Rankin treasure trove — a must for aficionados as well as a superb introduction to anyone looking to experience DI John Rebus, and the dark and twist-filled crimes he has to investigate, for the very first time.