Pour tout vous dire, je rêvais depuis longtemps d'aller en Iran… Mais pas dans ces conditions !
Au XXe siècle, être obligé de se battre au sabre, c'est surprenant, non ? Mais, croyez-moi, votre San-Antonio se révèle vite un as de cette discipline et les sbires qui se sont frottés à lui, s'ils n'étaient pas déjà des eunuques, ne sont pas près de mettre Casanova en péril.
Quant à Bérurier au pays des mille et une nuits (des mille et un z'ennuis, plutôt), c'est pas racontable en page 4 de couverture.
Sachez qu'il y a plusieurs façons de donner sa langue au chat… La donner au Chah n'est pas la plus facile, vous allez voir !
Gunārs Cīrulis
Mīļais nesteidzies
Romāns
Romāna galvenie varoņi ~ milicijas darbinieki — parādīti sarežģīta un neikdienišķa nozieguma atklāšanas procesā.
Noziegumā iejaukta jaunieša Jara Vaivara liktenis neparedzēti un traģiski saistās ar iekšlietu orgānu darbinieku likteņiem. Viņam grib palīdzēt, bet kā to izdarīt? Kā rīkosies viņš pats?
RĪGA «LiESMA» 1982
Recenzenti: Ēvalds Strods un milicijas ģenerālmajors, juridisko zinātņu doktors Anrijs Kavalieris
Mākslinieks Gunārs Kļava
On retrouve ici les quatre héros de Malavita, l'inénarrable famille Blake. Repenti de la mafia new-yorkaise, Blake, rebaptisé Wayne, a obtenu la protection du FBI, et s'est installé en France avec les siens sous la surveillance tatillonne d'un ange gardien légèrement dépressif. L'ancien gangster a trouvé dans l'inépuisable réservoir d'anecdotes de sa première vie la matière de quelques thrillers à succès. Tout se passerait pour le mieux si la cellule familiale n'était pas emportée dans la tourmente des remises en cause existentielles… Les enfants traversent une adolescence compliquée, l'épouse fidèle a décidé de s'émanciper, et l'auteur de best-sellers, soudain seul face à lui-même, est en proie aux affres de la création littéraire. Des problèmes ordinaires, somme toute, pour une famille qui ne l'est pas… Ils seront résolus de la façon la plus diabolique et la plus hilarante qui soit.
Après avoir exercé divers métiers qui ont servi de cadre à ses premiers romans, Tonino Benacquista construit une œuvre dont la notoriété croît sans cesse. Après les intrigues policières de La maldonne des sleepings et de La commedia des ratés, il écrit Saga qui reçoit le Grand Prix des lectrices de Elle en 1998, et Quelqu’un d’autre, Grand Prix RTL-Lire en 2002.
Scénariste pour la bande dessinée (L’outremangeur, La boîte noire, illustrés par Jacques Ferrandez), il écrit aussi pour le cinéma : il est coscénariste avec Jacques Audiard de Sur mes lèvres et de De battre mon cœur s’est arrêté, qui leur valent un César en 2002 et 2006.
On retrouve ici les quatre héros de Malavita, l'inénarrable famille Blake. Repenti de la mafia new-yorkaise, Blake, rebaptisé Wayne, a obtenu la protection du FBI, et s'est installé en France avec les siens sous la surveillance tatillonne d'un ange gardien légèrement dépressif. L'ancien gangster a trouvé dans l'inépuisable réservoir d'anecdotes de sa première vie la matière de quelques thrillers à succès. Tout se passerait pour le mieux si la cellule familiale n'était pas emportée dans la tourmente des remises en cause existentielles… Les enfants traversent une adolescence compliquée, l'épouse fidèle a décidé de s'émanciper, et l'auteur de best-sellers, soudain seul face à lui-même, est en proie aux affres de la création littéraire. Des problèmes ordinaires, somme toute, pour une famille qui ne l'est pas… Ils seront résolus de la façon la plus diabolique et la plus hilarante qui soit.
Après avoir exercé divers métiers qui ont servi de cadre à ses premiers romans, Tonino Benacquista construit une œuvre dont la notoriété croît sans cesse. Après les intrigues policières de La maldonne des sleepings et de La commedia des ratés, il écrit Saga qui reçoit le Grand Prix des lectrices de Elle en 1998, et Quelqu’un d’autre, Grand Prix RTL-Lire en 2002.
Scénariste pour la bande dessinée (L’outremangeur, La boîte noire, illustrés par Jacques Ferrandez), il écrit aussi pour le cinéma : il est coscénariste avec Jacques Audiard de Sur mes lèvres et de De battre mon cœur s’est arrêté, qui leur valent un César en 2002 et 2006.
“This smart and original mystery is a true page-turner… will baffle, surprise, and draw out suspicion until the final few pages. With each book, Higashino continues to elevate the modern mystery as an intense and inventive literary form.”
—Library Journal (starred review)
“Fiendishly clever… Higashino offers one twist after another… Readers will marvel at the artful way the plot builds to the solution.”
—Publishers Weekly (starred review)
Acclaimed bestselling novelist Kunihiko Hidaka is found brutally murdered in his home on the night before he’s planning to leave Japan and relocate to Vancouver. His body is found in his office, a locked room, within his locked house, by his wife and his best friend, both of whom have rock solid alibis. Or so it seems.
At the crime scene, Police Detective Kyochiro Kaga recognizes Hidaka’s best friend, Osamu Nonoguchi. Years ago when they were both teachers, they were colleagues at the same public school. Kaga went on to join the police force while Nonoguchi eventually left to become a full-time writer, though with not nearly the success of his friend Hidaka.
As Kaga investigates, he eventually uncovers evidence that indicates that the two writers’ relationship was very different that they claimed, that they were anything but best friends. But the question before Kaga isn’t necessarily who, or how, but why. In a brilliantly realized tale of cat and mouse, the detective and the killer battle over the truth of the past and how events that led to the murder really unfolded. And if Kaga isn’t able to uncover and prove why the murder was committed, then the truth may never come out.
Malice is one of the bestselling—the most acclaimed—novel in Keigo Higashino’s series featuring police detective Kyochiro Kaga, one of the most popular creations of the bestselling novelist in Asia.
C'est beau, un bordel.
C'est confortable.
On y passe généralement de bons moments.
Sauf quand il y vient des gens bizarres.
Alors il arrive que les choses se gâtent et qu'on se mette à y mourir à qui mieux mieux.
Un conseil : ne jamais ouvrir la fenêtre donnant sur la rue, sinon t'es obligé d'appeler les pompiers. Et les pompiers dans un bordel, quoi que tu en penses, ça la fout mal !
On t'a déjà mené en bateau, non ?
Donc tu as le pied marin, si tu n'as pas l'air malin.
Alors, mets ton béret à pompon et embarque, matelot !
Grimpe avec Béru et moi sur le Thermos pour une croisière very délectable.
Tu trouveras à bord des sirènes très sublimes, avec une proue qui n'a pas besoin de soutiens-loloches et une poupe que tu peux déguster à la cuiller.
Y a du champagne, du punch, de la vodka et du caviar…
Et des bombes en guise de dessert.
Très glacées, tu verras.
Avec elles, t'es sûr de faire un boum…
C'est les requins qui vont être contents !
Et si tu as envie de la quille, ben, sers-toi.
Avant qu'elle coule.
"Le roman populaire a donné naissance au roman policier, et cette transition s'opère sous nos yeux comme par magie, grâce à un auteur presque oublié, Henry Cauvain (1817 – 1899) et à son merveilleux roman Maximilien Heller. Ce récit est excellent, entre autres raisons, parce qu'il est relativement bref et ne s'encombre d'aucune intrigue amoureuse. Il comporte un criminel de génie, un crime en chambre close remarquablement expliqué compte tenu de l'époque, et un enquêteur résolument privé!On peut y faire des comparaisons amusantes. Heller aime les chats, comme Sherlock Holmes. Il prend de l'opium pour s'endormir – comme Holmes. Comme lui, il procède par déductions logiques. Il a un confident qui raconte l'histoire, et qui est médecin, comme le Watson de Holmes… Tout pourrait laisser croire que Cauvain, imbibé de Gaboriau, a également lu Conan Doyle et lui a emprunté personnages, techniques et détails! Or Maximilien Heller date de 1871, alors que la première aventure de Sherlock Holmes ne sera publiée que seize ans plus tard!"
Les aventures d'un détective amateur sur les traces de Sherlock Holmes: comme lui, il a une forte personnalité, une faculté de concentration intellectuelle extraordinaire qui souvent l'empêche de dormir: c'est pourquoi il prend de l'opium.