Strictly off limits to the public, Plum Island is home to virginal beaches, cliffs, forests, ponds — and the deadliest germs that have ever roamed the planet. Lab 257 blows the lid off the stunning true nature and checkered history of Plum Island. It shows that the seemingly bucolic island in the shadow of New York City is a ticking biological time bomb that none of us can safely ignore.
Based on declassified government documents, in-depth interviews, and access to Plum Island itself, this is an eye-opening, suspenseful account of a federal government germ laboratory gone terribly wrong. For the first time, *Lab 257* takes you deep inside this secret world and presents startling revelations on virus outbreaks, biological meltdowns, infected workers, the periodic flushing of contaminated raw sewage into area waters, and the insidious connections between Plum Island, Lyme disease, and the deadly West Nile virus. The book also probes what's in store for Plum Island's new owner, the Department of Homeland Security, in this age of bioterrorism.
Lab 257 is a call to action for those concerned with protecting present and future generations from preventable biological catastrophes.
C’est en dirigeant un laboratoire du CNRS consacré aux mots et aux dictionnaires que Jean Pruvost a contracté une dicopathie incurable. Chaque foyer possède au moins un exemplaire de ce condensé d’érudition, inlassablement mis à jour par l’usage et codifié par l’Académie. Ivre des mots, ce dicolâtre vit, lui, entouré de 10 000 dictionnaires.
Créateur d’une Journée annuelle des dictionnaires qui réunit depuis vingt ans des linguistes du monde entier, il se livre à un passionnant effeuillage de l’objet de toutes ses convoitises dont il goûte jusqu’à l’odeur… On découvre l’histoire passionnante de ce best-seller méconnu et mille anecdotes. Comment, au XIXe siècle, la « fesse » a-t-elle été jugée si indigne qu’elle a disparu de certaines éditions ? Pourquoi trouvait-on la définition d’« un » automobile ou d’« une » cyclone avant que Littré ne change d’avis pour ce dernier mot ? Le « sexe féminin », « sexe imbécile » selon Furetière, n’y était guère mieux traité que l’« étudiante », cette « jeune fille de condition modeste et de mœurs légères ». Et que dire de ce collégien qui a rageusement biffé la mention des 30 000 mots annoncée sur la page de garde de son dictionnaire pour les remplacer par 28 943, selon son décompte ?
De Furetière et Vaugelas au Robert en passant par le Littré, la saga des Larousse ou le Dictionnaire de l’Académie, Jean Pruvost nous fait partager son addiction pour les mots de la langue française, leur histoire et leurs secrets.
On September 8, 1941, eleven weeks after Hitler launched Operation Barbarossa, his brutal surprise attack on the Soviet Union, Leningrad was surrounded. The siege was not lifted for two and a half years, by which time some three quarters of a million Leningraders had died of starvation.
Anna Reid's Leningrad is a gripping, authoritative narrative history of this dramatic moment in the twentieth century, interwoven with indelible personal accounts of daily siege life drawn from diarists on both sides. They reveal the Nazis' deliberate decision to starve Leningrad into surrender and Hitler's messianic miscalculation, the incompetence and cruelty of the Soviet war leadership, the horrors experienced by soldiers on the front lines, and, above all, the terrible details of life in the blockaded city: the relentless search for food and water; the withering of emotions and family ties; looting, murder, and cannibalism- and at the same time, extraordinary bravery and self-sacrifice.
Stripping away decades of Soviet propaganda, and drawing on newly available diaries and government records, Leningrad also tackles a raft of unanswered questions: Was the size of the death toll as much the fault of Stalin as of Hitler? Why didn't the Germans capture the city? Why didn't it collapse into anarchy? What decided who lived and who died? Impressive in its originality and literary style, Leningrad gives voice to the dead and will rival Anthony Beevor's classic Stalingrad in its impact.
La DGSE est l’objet de tous les fantasmes. On imagine les « espions » tels les héros de cinéma, aussi séducteurs que tueurs, ou au contraire, uniquement capables de fiascos comme celui du Rainbow Warrior en 1984. « Les guerriers de l’ombre » donnent la parole à ceux d’entre eux qui courent le plus de dangers. Pour l’essentiel, il s’agit de clandestins, c’est à dire de Français autorisés par l’État à vivre sous une fausse identité.
En raison de la relation de confiance établie avec eux par Jean-Christophe Notin, auteur de plusieurs livres sur le sujet, ils ont accepté pour la première fois de briser le silence devant normalement entourer leurs activités. C’est une première en France, mais aussi c’est aussi une première dans le monde car la DGSE est l’un des seuls services de renseignement à recourir de manière intensive à la clandestinité. Les attentats du 11 septembre, les guerres de contre-insurrection (Afghanistan, Irak) ou de contre-terrorisme (Mali, Syrie) ont en effet démontré les limites du renseignement technique : tout djihadiste d’importance sait bien qu’il lui faut éviter d’utiliser son téléphone ou son PC…
Puisqu’ils s’expriment pour la première fois, « les guerriers de l’ombre » laisse la parole à ces hommes et ces femmes, engagés souvent seuls dans les pires endroits de la planète. Il s’agit donc d’un livre d’entretiens, menés par l’auteur dans le cadre du documentaire réalisé par Frédéric Schoendoerffer et que diffusera Canal + en juin. S’en dégage un portrait intime où les fantasmes sont confrontés à la réalité, les motivations aux risques encourus, les réussites professionnelles aux échecs sentimentaux…
Un document choc.
« Chic, il y a de l'argot dans l'air ! Le latin de la racaille. Une langue parfois morte, qui renaît sans cesse de ses cendres. Une langue jamais amorphe, toujours polymorphe… ».
Écrivains, chanteurs, ils s'appellent Bruant ou Céline, Renaud ou Boudard, sans oublier le tonitruand Michel Audiard et d'autres moins connus, tel l'écrivain Albert Paraz. Ils ont servi la langue française en se jouant d'elle, en la réinventant, offrant au plus grand public l'éclat des mots populaires.
De François Villon à la série Kaamelott, François Сérésa présente ces « Princes de l'argot ». Il le fait à sa manière, avec un style incomparable, le verbe fleuri. En remontant le temps, il nous raconte l'histoire de cette langue réinventée. Les époques défilent, les orfèvres de l'argot sont célébrés, jusqu'à aujourd'hui.
Une invitation aux plaisirs de la langue française, où le lecteur se délectera des portraits et d'un florilège de citations « pas piquées des hannetons ».
François Cérésa est l'auteur de nombreux romans, de La Vénus aux fleurs (Robert Laffont, 1990) à Sugar Puffs (Fayard, 2011) et, aux éditions Écriture, Merci qui ? (2013). Au cours de ses vies multiples, il a été maçon, peintre, menuisier, poète, chauffeur de maître, critique gastronomique, chroniqueur sportif et cover-boy. Longtemps journaliste, il anime aujourd'hui le mensuel Service littéraire.
C'est l'un des secrets les mieux gardés de la République : en son nom et sur ordre des plus hautes autorités, des tueurs sont disponibles à tout moment pour éliminer des personnes jugées dangereuses pour la sécurité nationale ou conduire des guerres secrètes contre des ennemis présumés.
Oui, la France tue parfois pour régler des comptes. Oui, la France mène clandestinement depuis des décennies, au nom de la protection de ses intérêts, du Moyen-Orient à la Françafrique, des actions meurtrières inavouables : vengeances d'État, assassinats en série, attentats commandités par l'Élysée, guérillas sanglantes, éradication de chefs terroristes, emploi de mercenaires sulfureux ou de services secrets alliés peu regardants…
Pour ce faire, la DGSE dispose de son Service Action et, en marge de celui-ci, d'une cellule clandestine dont ce livre retrace l'histoire. Ses agents et des commandos des forces spéciales sont entraînés pour mener à bien ces exécutions ciblées, appelées « opération Homo » (pour homicide), ainsi que des opérations plus vastes de « neutralisation », souvent en marge des conflits déclarés. Les présidents successifs de la Ve République, de De Gaulle à Hollande, ont, chacun à leur manière, recouru à ce type d'actions, même s'ils s'en sont défendus.
Au cours d'une enquête de plusieurs années, Vincent Nouzille a recueilli des témoignages exclusifs et des documents inédits. Des acteurs clés qui ont donné ou obtenu ce « permis de tuer » éclairent ici cette face sombre du pouvoir.
Vincent Nouzille, journaliste indépendant, collabore au Figaro Magazine, après avoir été grand reporter à L'Express. Il est l’auteur ou le coauteur d’enquêtes de référence, comme Les Parrains corses, avec Jacques Follorou (Fayard, 2004), Des secrets si bien gardés (Fayard, 2009) et Dans le secret des présidents (Fayard/LLL, 2010).
«Limbo» — Прикольная игрушка, поэтому я скачал на неё прохождение и перевёл в формат FB2 для андроид-устройств.
Foreign correspondent Neely Tucker and his wife, Vita, arrived in Zimbabwe in 1997. After witnessing firsthand the devastating consequences of AIDS on the population, especially the children, the couple started volunteering at an orphanage that was desperately underfunded and short-staffed. One afternoon, a critically ill infant was brought to the orphanage from a village outside the city. She'd been left to die in a field on the day she was born, abandoned in the tall brown grass that covers the highlands of Zimbabwe in the dry season. After a near-death hospital stay, and under strict doctor's orders, the ailing child was entrusted to the care of Tucker and Vita. Within weeks Chipo, the girl-child whose name means gift, would come to mean everything to them.
Still an active correspondent, Tucker crisscrossed the continent, filing stories about the uprisings in the Congo, the civil war in Sierra Leone, and the postgenocidal conflict in Rwanda. He witnessed heartbreaking scenes of devastation and violence, steeling him further to take a personal role in helping anywhere he could. At home in Harare, Vita was nursing Chipo back to health. Soon she and Tucker decided to alter their lives forever – they would adopt Chipo. That decision challenged an unspoken social norm – that foreigners should never adopt Zimbabwean children.
Raised in rural Mississippi in the sixties and seventies, Tucker was familiar with the mores associated with and dictated by race. His wife, a savvy black woman whose father escaped the Jim Crow South for a new life in the industrial North, would not be deterred in her resolve to welcome Chipo into their loving family.
As if their situation wasn't tenuous enough, Zimbabwe President Robert Mugabe was stirring up national fervor against foreigners, especially journalists, abroad and at home. At its peak, his antagonizing branded all foreign journalists personae non grata. For Tucker, the only full-time American correspondent in Zimbabwe, the declaration was a direct threat to his life and his wife's safety, and an ultimatum to their decision to adopt the child who had already become their only daughter.
Against a background of war, terrorism, disease, and unbearable uncertainty about the future, Chipo's story emerges as an inspiring testament to the miracles that love – and dogged determination – can sometimes achieve. Gripping, heartbreaking, and triumphant, this family memoir will resonate throughout the ages.
A non fiction book
Enormously visceral, emotionally gripping, and imbued with the belief that justice is possible even after the most horrific of crimes, Alice Sebold's compelling memoir of her rape at the age of eighteen is a story that takes hold of you and won't let go.
Sebold fulfills a promise that she made to herself in the very tunnel where she was raped: someday she would write a book about her experience. With Lucky she delivers on that promise with mordant wit and an eye for life's absurdities, as she describes what she was like both as a young girl before the rape and how that rape changed but did not sink the woman she later became.
It is Alice's indomitable spirit that we come to know in these pages. The same young woman who sets her sights on becoming an Ethel Merman-style diva one day (despite her braces, bad complexion, and extra weight) encounters what is still thought of today as the crime from which no woman can ever really recover. In an account that is at once heartrending and hilarious, we see Alice's spirit prevail as she struggles to have a normal college experience in the aftermath of this harrowing, life-changing event.
No less gripping is the almost unbelievable role that coincidence plays in the unfolding of Sebold's narrative. Her case, placed in the inactive file, is miraculously opened again six months later when she sees her rapist on the street. This begins the long road to what dominates these pages: the struggle for triumph and understanding – in the courtroom and outside in the world.
Lucky is, quite simply, a real-life thriller. In its literary style and narrative tension we never lose sight of why this life story is worth reading. At the end we are left standing in the wake of devastating violence, and, like the writer, we have come to know what it means to survive.